dimanche 18 novembre 2012

René Guénon - Recueil posthume - Articles

Nouveaux recueils posthumes (pdf et texte) :



Recueil général. Comprend l'ensemble des articles connus, moins ceux mis en appendice de L’Ésotérisme de Dante et du Théosophisme.




Ce n'est pas LA disposition, c'est une disposition parmi d'autres, à la disposition de ceux qui la trouvent acceptable.



Ce recueil comprend des textes qui sont également disponibles à part :
La métaphysique orientale (1925)
Saint Bernard (1926)




Des illustrations évoquées dans le texte ont été ajoutées en note :

Le tombeau d’Hermès

  • Sceau des États-Unis (verso) :


La lumière et la pluie

  • Tablette assyrienne (soleil) :

La Terre du Soleil

  • Zodiaque de Glastonbury :

Le Sacré-Cœur et la Légende du Saint Graal

  • Détail de canon d’autel de l’abbaye de Fontevrault (rose au pied de la lance) :

  • Rose emblématique de Martin Luther :

À propos de quelques symboles hermético-religieux

  • Janus bifrons :

  • Ex-libris hermétique du XVIIIe siècle (arbre) :

Le Verbe et le Symbole

  • Marque de l’imprimeur orléanais Matthieu Vivian (1490) (croix sur un coeur) :

À propos des signes corporatifs et de leur sens originel

  • Faîte d'une estampe dessinée et gravée par Callot (coeur aux trois iod) :

L’idée du Centre dans les traditions antiques

  • Chrisme à la rose :

L’Omphalos, symbole du Centre

  • Personnage du graffite du donjon de Chinon (bouclier à 8 rayons) :

  • 2 figures à 8 rayons d'anciennes commanderies du Temple :

Considérations sur le Symbolisme II. – Symbolisme et Philosophie

  • Le candélabre des 3 croix :

À propos du Poisson

  • L'Ea babylonien (chèvre poisson) :

Le symbolisme solsticial de Janus

  • Les deux saints Jean :

Quelques aspects du symbolisme de Janus

  • La lettre Y dans Le Champ fleuri de Geoffroy Tory (Paris, 1529) :

22 commentaires:

  1. c'est tout simplement énorme
    quel pavé
    je vais me faire mal au cerveau

    merci encore

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  2. Dans l'article Folie apparente et sagesse cachée (ET Janvier - Février 1946), une phrase nous semble fautive : "Nous ne voulons d’ailleurs pas dire par là qu’une certaine simulation, fût-ce celle de la folie (et celle de l’enfance n’en est pas si éloignée après tout, quant aux apparences), ne puisse pas être parfois justifiée, même dans [???] de simples mystiques. Ne manquerait-il pas "le cas" ?

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  3. Merci du signalement, c'est "chez" à la place de "dans" en fait, cette erreur fait partie des prochaines corrections, en ligne dans quelques temps. Lorsque ce sera le cas vous la verrez signalée dans l'errata d'IRS.

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  4. Bonjour,

    Seriez-vous en possession du
    Cours de René Guénon: « La Logique ». (Cette deuxième partie est divisée en deux sous-parties : « Logique Générale » et « Logique Appliquée (Méthodologie)». Les deux textes ici reproduit sont extrait de la sous-partie « Logique Générale ») qui a été publié par "Vers la tradition"?

    Merci infiniment

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  5. Bonjour,

    Non, je n'ai pas ça pour l'instant, ce ne sont pas ces deux textes qui sont reproduits ici (je ne sais pas à quoi vous faites allusion, dans le recueil de la présente page il n'y a pas d'article sur la logique).

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  6. Bonjour,

    Je souhaitais partager un point de vue avec vous. Je viens de lire l'article sur le christianisme où Guénon avance l'idée qu'il s'agit d'un ésotérisme devenu exotérisme par nécessité de condition d'un redressement temporaire. C'est extrêmement intéressant, mais de fait l'idée de "religion révélée" prend un sens supplémentaire. D'une certaine manière la vision unificatrice des traditions qu'évoque Guénon ainsi que la doctrine des cycles fait des trois monothéismes des derniers temps une sorte de révélation à l'ensemble de l'humanité de principes métaphysiques qui s'étaient peu à peu retrouvé détenu uniquement par les élites des sociétés traditionnels.
    Pensez vous que l'on puisse dire qu'il s'agit en fait d'une "piqûre de rappel", sous une forme adaptée, des principes originels noyés dans la multiplicité et l'éloignement du principe? J'espère ne pas être trop sibyllin. Merci à vous.

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  7. Bonjour,

    Pour le cas particulier dont vous parlez, je crois que Guénon parle de la religion chrétienne en elle-même et non du Christianisme dans son ensemble, qui doit nécessairement comporter un ésotérisme aussi discret soit-il, sous peine de mourir, non en lui-même bien sûr mais pour les hommes y adhérant.

    Je ne comprends pas en quoi c'est différent des autres formes : dans toute leur diversité, chaque forme traditionnelle n'est-elle pas un accès à la connaissance une, adapté à la mentalité des hommes de telle condition particulière de temps et de lieu?

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  8. Oui c'est ce que je voulais dire pour la religion, puisque l'ésotérisme chrétien a été effectif, mais je ne sais pas si c'est encore le cas aujourd'hui.

    J'avais peur de ne pas être clair, en fait je faisais allusion au rôle qu'ont joués les religions révélés par rapport aux polythéismes, et je fais vraiment allusion aux premières ères de leur existences dans leurs zones géographiques respectives. Guénon souligne à juste titre que l'opposition entre polythéisme et monothéisme n'a pas vraiment lieu d'être puisque ce dernier reste dominant dans la tradition, les différents "dieux" n'étant que des supports adaptés aux différentes natures. La question que je me pose est qu'au moment où les trois monothéismes ont émergé ce polythéisme n'avait pas dévié vers une "idolâtrie" dans sa face exotérique, l'aspect monothéiste demeurant l'apanage des initiés (c'est notamment une thèse de Franz Svoboda dans l'Art Royal sur les sources égyptiennes de la Franc Maçonnerie), sans quoi certains passages des écrits deviennent plus claires, comme le Veau d'Or, alors que dans les traditions de l'époque, qu'elle soient égyptiennes, romaines ou grecques une forme de "religiosité" avait pris le pas, comme en parle Plotin et Anaximandre. Toujours dans l'idée de replacer la connaissance dans une vision "épuré", je faisais allusion à un article de Ivan Agueli sur les points commun entre le soufisme et le tao. (cf http://esprit-universel.over-blog.com/article-abdul-hadi-ivan-agueli-pages-dediees-a-mercure-sahaif-ataridiyah-116346770.html).

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  9. Je veux dire, existence d'un ésotérisme chrétien après que la religion chrétienne en tant que telle ait atteint sa forme finale. Vous disiez que le Christianisme était devenu un exotérisme, enfin ça n'est pas l'objet principal de la discussion.

    Déjà je ne sais pas si on parle de la même chose en terme de polythéisme, pour moi ça ne s'associe qu'aux grecs et aux romains. Je ne suis pas sûr que ça ait été le problème des égyptiens, qui semble avoir plus été leur obsession pour la magie.

    Et je pense que le polythéisme est en soi une déviation, c'est différent de la simple considération de multiples aspects divins dépendants d'un principe unique, ce qui devait être implicite pour nos lointains ancêtres, et qui n'avaient donc pas besoin qu'on leur dise de telles évidences.

    (Pour la défense de sources égyptiennes de la Franc-Maçonnerie, ça doit s'accompagner d'une promotion de quelques maçonneries irrégulières comme Memphi-Misraïm, qui sont de création artificielle.)

    Je ne comprends pas dans quel sens vous parlez de religiosité pour les traditions romaines, grecques ou égyptiennes. Vous voulez dire un aspect moral? Je le vois bien dans la tradition grecque par exemple, mais je ne comprends pas le rapport avec les différences entre monothéisme et polythéisme.

    Et pour être vraiment sûr de votre question, vous vous demandez si les traditions grécque, romaine et égyptiennes n'avaient pas déjà dévié au moment de l'apparition des trois religions? Je ne sais pas s'il y a une réponse bateau, c'est vraiment complexe, on parle de 6 formes traditionnelles qui sont apparues à des époques différentes, qui ont eu des interactions propres très variées dans des endroits et à des époques différentes, sans compter le fait qu'une déviation peut être seulement partielle.

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  10. Non j'ai l'impression que Guénon parle du christianisme dans son ensemble et pas simplement de la religion chrétienne "loin de n’être que la religion ou la tradition exotérique que l’on connaît actuellement sous ce nom, le Christianisme, à ses origines, avait, tant par ses rites que par sa doctrine, un caractère essentiellement ésotérique, et par conséquent initiatique. On peut en trouver une confirmation dans le fait que la tradition islamique considère le Christianisme primitif comme ayant été proprement une tarîqah, c’est-à-dire en somme une voie initiatique, et non une shariyah ou une législation d’ordre social et s’adressant à tous ; et cela est tellement vrai que, par la suite, on dut y suppléer par la constitution d’un droit « canonique »2 qui ne fut en réalité qu’une adaptation de l’ancien droit romain, donc quelque chose qui vint entièrement du dehors, et non point un développement de ce qui était contenu tout d’abord dans le Christianisme lui-même. Il est du reste évident qu’on ne trouve dans l’Évangile aucune prescription qui puisse être regardée comme ayant un caractère véritablement légal au sens propre de ce mot ; la parole bien connue : « Rendez à César ce qui est à César… », nous paraît tout particulièrement significative à cet égard, car elle implique formellement, pour tout ce qui est d’ordre extérieur, l’acceptation d’une législation complètement étrangère à la tradition chrétienne, et qui est simplement celle qui existait en fait dans le milieu où celle-ci prit naissance, par là même qu’il était alors incorporé à l’Empire romain".

    D'autres points sont éclairant mais je ne vais pas copier coller tout l'article. Mais pour ce qui me concerne je comprend l'article de cette manière : le christianisme est à la base une voix ésotérique à part entière qui s’exerce de manière cachée dans les deux plans orientaux et occidentaux du monde gréco-romain. L'erreur d'interprétation pour Guénon serait de penser que l'émergence de cette voie vers l’exotérisme viendrait d'un laxisme dans la sélection des membre qui aurait dénué les rites de leur caractère effectif. Cette "descente" serait volontaire et viendrait opérer un ultime redressement avant la période dans laquelle nous sommes désormais :

    "Si l’on considère quel était, à l’époque dont il s’agit, l’état du monde occidental, c’est-à-dire de l’ensemble des pays qui étaient alors compris dans l’Empire romain, on peut facilement se rendre compte que, si le Christianisme n’était pas « descendu » dans le domaine exotérique, ce monde, dans son ensemble, aurait été bientôt dépourvu de toute tradition, celles qui y existaient jusque-là, et notamment la tradition gréco-romaine qui y était naturellement devenue prédominante, étant arrivées à une extrême dégénérescence qui indiquait que leur cycle d’existence était sur le point de se terminer. Cette « descente », insistons-y encore, n’était donc nullement un accident ou une déviation, et on doit au contraire la regarder comme ayant eu un caractère véritablement « providentiel », puisqu’elle évita à l’Occident de tomber dès cette époque dans un état qui eût été en somme comparable à celui où il se trouve actuellement. Le moment où devait se produire une perte générale de la tradition comme celle qui caractérise proprement les temps modernes n’était d’ailleurs pas encore venu ; il fallait donc qu’il y eût un « redressement », et le Christianisme seul pouvait l’opérer, mais à la condition de renoncer au caractère ésotérique et « réservé » qu’il avait tout d’abord."

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  11. Donc finalement le Christianisme serait une voie ésotérique devenue exotérique par nécessité, qui se serait ensuite reconstitué un noyau initiatique en Occident avec l'hermétisme notamment.

    Pour ce qui concerne le polythéisme, l'exemple de la vision unique est assez flagrante chez les Hindous : j'étudie la musique auprès d'un pandit et dans la salle il y' a une grande statue de la déesse Kali, et c'est précisément ce que ce dernier m'expliquait : chaque hindou est libre de vénérer le dieu qu'il veut car il est conscient qu'au fond il ne s'agit que d'une émanation particulière de Brahma, tout comme lui même et ce qu'il perçoit.

    Dans le cadre des traditions grecques et romaines tout d'abord, c'est précisément cette considération qui semblait avoir été oublié ou du moins négligé, et les deux traditions semblaient être tombées dans la simple idolâtrie des Dieux, tant est si bien que chacun allait vénérer celui qui correspondait le mieux à ses intérêts propre. Ceci s'apparente un peu aux interprétations littéralistes inhérentes à la dégénérescence d'une tradition. Je n'ai fais référence à l'Egypte que par rapport aux juifs.

    En fait la vraie question après cette article est de savoir si le rôle qu'attribue Guénon au Christianisme peut être attribué à l'Islam et au Judaïsme. Si vous voulez une même racine dont trois branches auraient émergées en des lieux et des temps différents mais à une fin strictement identique de par leur forme. Dans cette logique Judaïsme-Christianisme-Islam cette dernière serait la dernière adaptation régulière de la Tradition offerte à l'Humanité.

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  12. Guénon parle du Christianisme tel qu'on le connaît de l'extérieur, il ne dit pas que c'est devenu un exotérisme exclusif, ce qui le réduirait à une superstition pure et simple, l'exotérisme s'accompagnait toujours d'un ésotérisme, même après sa constitution définitive. Maintenant je ne sais pas, mais dans le passé c'est sûr, sinon ça n'aurait pas été une tradition digne de ce nom.

    Sur le reste je vous suis mais je ne vois plus le rapport avec ce que vous disiez précédemment, ou alors c'est moi qui avais mal compris. Je ne vois là que la constitution d'une nouvelle forme traditionnelle pour s'adapter plus spécialement à une certaine mentalité, qui dans ce cas était plus propice à l'idolâtrie que quelques siècles plus tôt, mais cette adaptation n'en est qu'une parmi de nombreuses autres qui respecte le cas général.

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  13. Et sur ceux navré de vous pondre des pavés mais il est vrai que ce sont des questions très complexes et dans ce type de correspondance il est facile de se faire mal comprendre, ce qui est dommage car compte tenu de votre bagage il est intéressant de converser avec vous. En tous cas ça l'est pour moi.

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  14. Ah pardon je n'avais pas vu que vous aviez envoyé plusieurs messages et que vous m'aviez répondu pour les autres points.

    Pour les rapports des trois traditions abrahamiques, comme elles ont une coexistence, ça veut dire qu'elles ont chacune leur raison d'être, il n'y en a pas une qui abolit la précédente, mais oui l'Islam est la dernière. Et les conflits entre ces traditions viennent sûrement justement de leur proximité et de leurs liens réciproques. Il y a le conte de Boccace sur les trois anneaux qui exprime très bien ces rapports je trouve.

    Ah merci mais je n'ai pas un gros bagage, à part Guénon je ne lis pas grand chose, c'est intéressant pour moi aussi de parler avec vous.

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  15. D'autre part vous avez raison pour ce qui concerne une portion réduite d'initiation dans l'expansion du christianisme "D’autre part, il est à remarquer que ce changement dans le caractère essentiel et, pourrait-on dire, dans la nature même du Christianisme, explique parfaitement que, comme nous le disions au début, tout ce qui l’avait précédé ait été volontairement enveloppé d’obscurité, et que même il n’ait pas pu en être autrement. Il est évident en effet que la nature du Christianisme originel, en tant qu’elle était essentiellement ésotérique et initiatique, devait demeurer entièrement ignorée de ceux qui étaient maintenant admis dans le Christianisme devenu exotérique ; par conséquent, tout ce qui pouvait faire connaître ou seulement soupçonner ce qu’avait été réellement le Christianisme à ses débuts devait être recouvert pour eux d’un voile impénétrable."

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  16. Pour les possibilités encore existentes d'initiation dans le Christianisme, Guénon évoque par exemple l'hésychasme, dans "Christianisme et initiation".

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  17. Oui justement c'est de cet article que je tirais mes questionnements. C'est sûr que c'est agréable de pouvoir échanger sur les différentes perceptions des articles, Guénon n'est pas l'auteur le plus simple à aborder dans une discussion. Pour les autres lectures dans ce domaine l'entourage de Guénon est bien complémentaire (Georgel, Agueli, Coomaraswamy mais vous connaissez) et après les auteurs plus anciens comme Ibn Arabi, Ibn Farabi, Saint Augustin ou Saint Thomas d'Aquin prennent une autre ampleur avec les explications de Guénon. Après tous ces défrichements j'ai l'impression qu'il ne reste plus qu'à tenter une initiation et éventuellement redécouvrir les écrits sacrés sous un nouveau jour.

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  18. Ah pardon, je suis étourdi. Oui, Guénon n'est pas simple, mais pas compliqué pour autant, c'est le plus clair que j'ai trouvé, il passe méthodiquement en revue les confusions les plus communes qui pourraient naître de l'imperfection de l'expression de tel ou tel sujet, et lorsque je me pose une question, il y a souvent un passage qui y répond précisément. Et en effet le reste y gagne.

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  19. Bonjour,
    Je biens de découvrir votre blog. Je vais rarement sur internet.
    Pourriez vous me dire d'ou vient le texte sur la substance de René Guénon ?
    Cela fait des années que l'on (le milieu dit guénonien)me parle de textes inédits qui sont restés dans la maison de René Guénon, pillée en partie par le milieu Valsanien (et ce même milieu aurait été à son tour pillé).
    J'ai eu connaissance d'un texte de René Guénon sur l'Ordre du Temple et d'un roman inédit.

    Avez vous des informations à ce sujet.
    Merci
    Raphaël Debrock

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  20. Bonjour,

    les différents textes partagés proviennent de dons ou se trouvaient déjà à la disposition du public, aucun n'a été "pillé".

    Par ailleurs je connaissais cette action des valsaniens, dont certains tentent de simuler piteusement un dépôt spirituel par la rétention et l'exploitation de ces documents subtilisés, par contre je ne savais pas qu'il s'étaient eux-mêmes fait voler les documents, cela est-il récent ?

    Pour le roman il a été mis en ligne ici :
    https://brunohapel.blogspot.fr/2016/06/rene-guenon-la-frontiere-de-lautre-monde.html

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  21. Bonjour,

    Je voudrais savoir si le livre posthume "psychologie" est bien de Guenon ?
    les orientaliste disent que c'est le cas mais je ne prends pas note de ce qu'ils disent;
    Merci en tout cas de rendre hommage a la Tradition avec ce blog

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  22. Bonjour,

    Oui visiblement, des scans de manuscrit ont été présentés, dans Vers La Tradition je crois. Mais la retranscription de la version Grossato comporte paraît-il des fautes (enfin le texte m'a semblé lisible). Il y a par contre divers rajouts de Grossato qui sont totalement inutiles et même nuisibles à la lecture du texte, mais ils restent identifiables.

    Ce qui change par rapport aux autres écrits de Guénon, c'est que c'était un cours. Je ne dis pas que les cours de Guénon ne sont pas valables loin de là, mais ils étaient destinés à des élèves, et je pense que pour cela ils abordent des considérations moins élevées que l’œuvre publique, dans laquelle Guénon n'a pas à se faire comprendre de tous.

    Merci à vous.

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